souffle du dehors.
souffle du dehors.

souffle du dehors.

Depuis les ruines, hélas, le col fermé
S’enfonce là-bas, pudique secret, au creux
De vaines clavicules et de tous les vœux
De duels, de café froid, de voyages lassés

D’être timides. Depuis la ruine alors
Du poignet intérieur au sol dirigé
Plane le nœud lâche de cette ombre affligée
Doucement proche, l’innocent se voit dehors,

Proche ; tendres jointures blanchies d’enlacer
L’harmonie en ligne des épaules conquises
Et grandies encor, siennes, sourdement exquises,

Suffit… Suffit l’amère et vaine angoisse, assez
D’un seul bouton rompu, de soie comme fardeau ;
Son cœur souffre à sa vue. Il fléchit dans son dos.

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