nouvelle
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effervescent.

« À qui m’aura trouvé, j’offre un premier salut et les seules excuses que je reconnaîtrais ici. Nous n’étions personne l’un pour l’autre ; mais malgré tous mes efforts je crains que la seule impression que vous avez eu de moi n’ait rien eu d’aimable. Je ne savais pas mourir dignement, à l’époque : et puisque j’ignore combien de temps je suis resté caché, j’ai peine à croire que j’ai pu être présentable. Ils ont été peu nombreux à prendre soin de moi ; vous l’avez fait avec un désintérêt précieux. Je suis navré pour vous et vous offre, maigre compensation, mon amitié sincère. »