Oh ! Je me sens l’âme navrée ;
Théophile Gautier
L’Océan gonfle, en soupirant
Sa poitrine désespérée,
Comme un ami qui me comprend.
Month: septembre 2019
Absurde et doux comme l’amour qu’on porte
À l’arène impériale, le flanc rougi casse
Et s’effondre sur lui par lui-même mangé
L’ongle y trempe, y reste. Dehors c’est hostile.
Chaud et douteux, mais toujours plus sûr,
Béante, le con de la putain les joues fiévreuses.
L’arène, encore. Ses chairs autour, l’amour un peu
Et les leurs, ailleurs, progressent tristement. […]
Même si je joue toujours à Monster Hunter World, au moins je continue à lire. — liste de lectures, septembre-octobre 2019
Read moreAvec les premiers voeux de mon obéissance,
Pierre Corneille
Souffrez ce faible effort de ma reconnaissance,
Que je tâche de vaincre un indigne courroux,
Et vous donner pour lui l’amour qu’il a pour vous.
Il manque de belles icônes. Il y eut ces époques de poésies, lorsque l’espèce voyait encore, pendant lesquelles nous creusions les murs des maisons et où l’on déposait, délicieuses amours, le contenu de l’âme à l’appréciation d’une beauté plus grande. J’y cédais des intimités communes, de mortels ennuis, toutes les craintes de l’esquisse de rien […]
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