D’où donc ce frisselis d’émoi qui me pénètre,
Gustave Kahn
D’où très mesurément, ce rythme mou d’andante ?
Il circule là-bas, aux blancheurs des fenêtres,
De bougeuses moiteurs, des ailes succédantes.
À elle.
Chérie, derrière nous nulle providence,
Pieds traînant dans le sable des lions
Et des lions dans la poitrine ;
Nos boucliers contre leurs ruines
Et l’épée brandie là ou nous aimions
Pour enfin faire briller l’excellence. […]