D’où donc ce frisselis d’émoi qui me pénètre,
Gustave Kahn
D’où très mesurément, ce rythme mou d’andante ?
Il circule là-bas, aux blancheurs des fenêtres,
De bougeuses moiteurs, des ailes succédantes.
D’où donc ce frisselis d’émoi qui me pénètre,
Gustave Kahn
D’où très mesurément, ce rythme mou d’andante ?
Il circule là-bas, aux blancheurs des fenêtres,
De bougeuses moiteurs, des ailes succédantes.