appâts.
appâts.

appâts.

Absurde et doux comme l’amour qu’on porte
À l’arène impériale, le flanc rougi casse
Et s’effondre sur lui par lui-même mangé.

L’ongle y trempe, y reste. Dehors c’est hostile.
Chaud et douteux, mais toujours plus sûr,
Béante, le con de la putain les joues fiévreuses.

L’arène, encore. Ses chairs autour, l’amour un peu
Et les leurs, ailleurs, progressent tristement.

Dans le sable honteux il s’enterre. Loin du monde se retirer
Puis l’arène salutaire, puis à l’œil de l’empereur ravi

Nouer la corde par deux mains sélam ancien ;
Atlantique attrait d’un muscle au poignet…

Faux tant que subtil.

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